UN AVENIR PARTAGÉ …
… È SARTÈ
CAMPARÀ
LANCEMENT DE CAMPAGNE
DISCOURS DU 21 FÉVRIER 2013
Chers amies, chers amis,
Nous
ne sommes pas en train de vivre une élection habituelle.
Songez
donc : quatre listes sont en présence. Il y a donc 23 fois 4, soit 92
personnes qui se présenteront devant vous ces 23 et 30 mars prochains. De plus
il y aura 10 conseillers communautaires pour nous représenter à la communauté
de communes, parmi les 23 personnes qui seront élues.
Vous
voyez donc qu’il y a deux scrutins qui ont lieu. Le premier, qui est le scrutin
municipal occupe les esprits et assure le contenu des journaux. Le second est
occulté, caché, peu de monde s’y intéresse et pourtant il est tout aussi
important et je pense même qu’il est encore plus important.
Mais
j’y reviendrai.
Si
nous ne connaissions pas les conditions particulières qui règnent à Sartène on
pourrait croire à une belle promotion de la démocratie avec ces quatre listes.
Mais en réalité, vous le savez toutes et
tous, notre cité est empêtrée dans de profondes difficultés.
Avec
mes amis nous nous sommes engagés lors de la précédente mandature, sur la base
d’un programme d’action.
Mais
très vite nous nous sommes aperçus que les décisions étaient prises en petit
comité et que le conseil municipal ne servait qu’à avaliser les choix du Maire.
Vous
nous connaissez. Face à une telle attitude, nous avons fait valoir nos
arguments, nous avons tenté de ramener le Maire sortant à la raison. Mais rien
n’y a fait. Il s’est entêté dans l’exercice d’un pouvoir solitaire au point que
pour éviter tout débat, il a fixé les conseils municipaux le lundi matin à 8
heures 30, puis comme il y avait encore trop de monde, il l’a fait à 8 heures.
Et la commune de Sartène est entrée dans
le ridicule.
Dans
toutes les communes de France, dans toutes les communes de notre île, les
conseils municipaux ont lieu le vendredi soir à 18 heures ou le samedi matin
afin que les conseillers municipaux qui travaillent, puissent y assister.
A
Sartène, le Maire sortant a instauré un statut particulier : des réunions
le lundi matin sans quorum, qui aboutissaient à reporter la réunion au jeudi
suivant, à la même heure : 8 heures.
Et
le résultat est celui que vous connaissez : plus de débat, un monologue du
Maire qui expose son projet et un vote par des conseillers missionnés.
Mais la réalité est là.
Cette réalité je vous l’ai commentée
durant de longs mois sur mon blog.
Depuis
2008, les recettes de la communes sont restées stables autour de 3 M€.
Les
dépenses, elles, sont passées de 2,4 M€ à 3 M€ entre 2008 et le 31 décembre
2012.
Comparons
cette situation à un budget familial pour mieux comprendre. C’est comme si
un ménage qui disposait de 3000 € par mois n’en dépensait que 2400. C’était le
bon temps. Il lui restait 600 € par mois pour investir : par exemple
acheter une voiture pour aller travailler ou rembourser un crédit pour un
appartement.
Dès lors que ce ménage dépense tout ce
dont il dispose, comme le fait la commune, il ne lui reste plus rien pour faire
autre chose.
La
conséquence vous la connaissez toutes et tous avec le malheureux exemple du
gymnase.
L’opération
de réfection du gymnase a été présentée en conseil municipal le 4 avril 2011. A propos devinez quel
jour était ce 4 avril 2011 ? Bravo ! Vous avez gagné ! C’était
un lundi matin !
Coût
de l’opération : 1,8 M€ TTC.
Le
16 décembre 2013, je ne vous précise pas le jour, vous le connaissez, le dossier
revient. Dans n’importe quelle commune on pense que les choses ont avancé. Eh
bien à Sartène sur ces 1,8 M€ on a dépensé 160 000 € en études. Oui vous
avez bien entendu, moins de 10 % en presque 3 ans.
Même un escargot aurait avancé plus
rapidement.
Et
cerise sur la gâteau, la contribution de la commune qui était de moins de
400 000 € au début de 2011, passe à plus de 450 000 € à la fin 2013 :
50 000 € de plus à mettre au
pot pour la commune sur ses fonds propres.
Mais
tout ceci ne se fera pas. Pourquoi ?
Parce
qu’une opération ne démarre que si la commune avance de quoi lancer les
travaux. Ensuite, en fonction de l’avancement, l’Etat, le département et la CTC apportent leur part.
Et comme la commune a tout dépensé pour
son quotidien il ne lui reste plus rien à mettre au pot. Alors pour imiter
« Perette et le pot au lait » adieu veau, vache, cochon, couvée, et
gymnase !
Voila
l’illustration malheureuse de la gabegie quotidienne des finances communales,
engendrée par l’exercice solitaire du pouvoir.
Les
conséquences sont dramatiques pour Sartène.
En
effet seul le quart de ce qui a été prévu comme équipements pour préparer le
Sartène de demain a été réalisé. Et encore il s’agissait de dossiers peu
importants.
Jugez
donc !
Les
réalisations qui sont allées au bout de ce qui a été prévu concernent : l’orgue,
la cantine, les illuminations de Noël, le mobilier de l’école primaire, et le
mobilier urbain. En gros il s’agissait
de dépenser.
Mais dès qu’il a fallu construire et
préparer un dossier, les résultats, tels que figurant au comptes établis au 31
décembre 2012, sont calamiteux :
Traversée de Sartène : 107 400 € de prévus,
0 % réalisés
Centre culturel : 130 000 € de prévus, 0,3 %
réalisés
Belvédère : 580 000 € de prévus, 3 % de
réalisés.
Gymnase : je n’y reviens pas !
Ces
sont là les chiffres au 31 décembre 2012 car nous n’avons pas encore les
chiffres au 31 décembre 2013 et depuis notre action pour sauver le centre
culturel, nous n’avons plus d’information du tout.
Les gêneurs dehors ! Les gens qui
savent lire les chiffres FORA! Circulez il n’y a rien à voir.
Et
l’improvisation a continué de plus belle ces derniers mois, avec les personnels
du centre culturel et de la crèche.
Le
Maire dit : nous allons les intégrer parmi le personnel communal.
1er problème : les sommes en jeu ont-elles été estimées ?
Non !
2ème problème : les ressources qui vont permettre de les payer ont-elles
été dégagées ? Non !
3ème problème : ces personnels font partie de filières spécifiques de
la fonction publique et la création de tels postes est soumise à la
consultation du centre de la fonction publique territoriale (CFPT). La
consultation a-t-elle eu lieu ? Non !
4ème problème : le CFPT va donner son accord avec des conditions à
respecter, notamment des conditions financières pour les personnels pour
lesquels des postes doivent être créés. L’ont-elles été ? Non.
C’est
ce qui s’appelle prendre les gens pour des « gogos », pour ne pas
dire plus.
Passons maintenant au second candidat
qui se présente sous l’étiquette de la droite.
Vous
l’avez entendu comme moi sur FR3.
Lorsque
le journaliste lui demande quelles sont ses priorités il annonce : un pôle
« petite enfance » et la propreté de la ville.
J’ai
du demander à Madeleine si j’avais bien entendu et je suis allé réécouter sur
internet. C’était bien vrai !
Certes,
j’en conviens, nous sommes tous pour une ville propre et pour la petite
enfance.
D’ailleurs
dans notre programme nous n’utilisons pas de noms pompeux pour parler de la
petite enfance. Nous, nous sommes clairs et pragmatiques.
Je le dis haut et
clair : nous sommes pour la mise aux normes et l’accessibilité de la
crèche avec l’installation d’un ascenseur et pour une augmentation de sa
capacité d’accueil dans le prolongement de l’existant.
CHI TANTI le pôle petite
enfance ! Agrandissons la crèche, recevons nos petits et arrêtons le
vocabulaire pompeux !
Pour la propreté de la
ville, nous le disons aussi haut et clair !
Il faut l’implication d’un
conseilleur municipal désigné à cet effet, avec des personnels motivés au sein
d’une brigade de nettoyage munie de moyens adaptés : laveuses et
nettoyeurs haute pression. N’imaginons pas que nous allons nettoyer à la SCOPA !
Et puis nous allons faire
appel au sens civique de chacun.
Nous faisons le pari que
nos concitoyens nous donneront un coup de main en faisant attention. Nous
entrerons alors dans un cercle vertueux.
Mais si pour le second
candidat de la droite la priorité c’est le « pôle enfance et la
propreté », nous, nous avons deux priorités que nous mènerons en
parallèle.
La première priorité c’est la remise en ordre des
finances de la commune.
Il nous faut absolument
maîtriser nos dépenses et augmenter nos recettes.
Pourquoi ?
Parce qu’en le faisant nous
aurons de l’épargne, de l’épargne qui nous permettra de restaurer l’image de
Sartène, celle d’une commune sérieuse, soucieuse de l’argent public, en rupture
avec celle d’une commune qui dépense ce qu’elle a.
Parce qu’en le faisant nous
aurons de l’épargne, de l’épargne qui nous permettra de lancer les travaux dont
nous avons absolument besoin. Ensuite les autres collectivités mettront leur
part. Mais si nous ne sommes pas capables d’avancer les sommes que nous
présentons dans nos plans de financement, et bien je vous dis que les dossiers
continueront de dormir.
Alors j’entends ici ou là,
dire que MONDOLONI va augmenter les impôts.
Non ! C’est
faux !
Nous allons augmenter nos recettes en révisant les
bases fiscales.
Cela veut dire que toutes
les habitations de la commune se verront appliquer un même barème pour
apprécier leur confort. A partir de là nous voterons des abattements pour les
familles modestes.
Non, nous ne prendrons pas
de sous à ceux qui sont dans la difficulté.
Nous n’en prendrons pas non
plus à ceux qui sont dans l’aisance.
En vérité nous appliquerons
simplement les règles de la
République : j’ai une habitation avec 3 chambres. Eh
bien je paierai plus de taxe d’habitation que celui qui a une habitation avec
deux chambres. Voilà la vérité. E BASTA!
Pourquoi allons-nous
réviser les bases fiscales ?
Parce qu’elles n’ont pas
été révisées depuis des lustres !
D’ailleurs la communauté de
commune nous le fait payer en augmentant notre contribution à son
fonctionnement, car nous sommes au dessous du rendement moyen.
Ainsi, non seulement nous
n’avons pas de possibilités de recettes, mais nous payons parce que nous
n’avons pas fait cette révision. Voilà la vérité !
Comment allons-nous maîtriser nos dépenses ?
Eh bien en faisant attention à toutes les
dépenses.
Je prends un exemple simple
qui va parler à tout le monde. Nous
avons examiné les dépenses de carburant. Elles ont augmenté de 10 000 € entre
2011 et 2012. Pourquoi ? NIMU A SA. Pourtant le carburant des camions qui
ôtent les ordures ménagères est payé par la CCSV.
Je ne veux incriminer personne. Mais il faut un peu de
sérieux.
On recrute des vacataires
en leur faisant miroiter qu’ils vont devenir titulaires. I TINTI ! Cela
n’a pas lieu et en plus cela désorganise et démotive les services, car ils se demandent pourquoi le
Maire recrute. Ils se demandent s’ils travaillent mal, ils se demandent s’ils
vont passer à la casserole.
Non il faut arrêter avec
tout cela !
Il faut revenir à une gestion sérieuse, transparente
et surtout respectueuse, je dis bien respectueuse des employés municipaux.
Il est facile de leur faire
porter le chapeau. Mais la réalité est toute autre. Vous savez que je suis chef
d’entreprise. Si l’entreprise ne marche pas bien ce n’est pas la faute de
Pierre, Paul, Jacques ou Martin. C’est ma faute ! Eh bien dans une commune
c’est pareil !
Il faut savoir motiver ses
collaborateurs, il faut les respecter, il faut fixer des objectifs, il faut en
discuter avec eux si les choses ne vont pas, il faut identifier les problèmes,
il faut les résoudre tous ensemble. Voilà comment on pilote une mairie.
Ce n’est pas à coup
d’ordre, de contre ordre, de conciliabules, de décisions prises au coin d’une
table ou de décisions prises au petit matin sans réflexion aucune.
Avec nous, la couleur est annoncée : la gestion
des femmes et des hommes sera transparente, respectueuse et fondée sur des
objectifs réalisables.
Ma deuxième priorité sera l’élaboration d’un PLU.
Et là encore il faudra
faire preuve de sérieux.
Alors je voudrais vous
rappeler que par delà l’absence de consultations obligatoires, le PLU de la
commune a été totalement, oui totalement annulé, car :
-il rendait urbanisables des zones non équipées,
-il ouvrait à l’urbanisation de trop nombreuses zones
littorales à BARCAGHJU, à TIZZANU et à TRADICETTU,
-il en faisait de même pour les terres agricoles dans
le RIZZANESE,
-il ne respectait ni les espaces remarquables, ni les
espaces boisés classés.
Et dire que le Maire a dépensé plus de 140 000 €
pour avoir un PLU annulé, 140 000 € qui sont les vôtres, faut-il le préciser.
Nous nous allons donc travailler
à l’élaboration d’un PLU raisonnable et équilibré :
-avec l’étude des décisions d’annulation des juridictions
administratives,
-en lien avec l’agence de l’urbanisme afin de ne pas contrevenir aux
orientations structurantes du PADDUC,
-en concertation avec les associations de protection de
l’environnement,
-avec le lancement de
travaux d’installation de réseaux VRD (voirie et réseaux divers)
-et avec la détermination sans
équivoque des zones commerciales et artisanales, des zones agricoles, des
zones vertes et protégées, des zones touristiques et des zones
inconstructibles.
Voila chères amies et chers amis, la partie relative à
l’élection municipale, car je ne vais
pas ici décliner la totalité du programme qui est contenu dans la plaquette que
nos avons élaborée et qui est à votre lecture dans la salle.
Mais à cette élection s’applique le fameux dicton sur
les trains : « attention un train peut en cacher un autre ».
Comme pour le train, cette
élection en cache une autre : c’est celle de la communauté de communes du
Sartenais-Valinco.
Je vous rappelle que le tandem BARTOLI-PAJANACCI en est aux
commandes et que sa situation est en grande difficulté financière.
Ce n’est pas moi qui le dit c’est la chambre régionale des comptes
dans son rapport définitif de fin 2010.
Je ne vais pas reprendre la totalité du rapport mais je dois
vous en dire quelques mots. Il faut que vous sachiez que la chambre dit, que les comptes ne sont pas sincères.
Excusez du peu !
Il faut que vous sachiez que la chambre dit que la situation financière s’aggrave
d’année en année !
Il faut que vous sachiez, que la chambre dit que des décisions importantes doivent être
prises pour permettre à la communauté de survivre, notamment en résorbant le
déficit important des budgets de l’eau et de l’assainissement.
Il faut que vous sachiez que la CCSV alimente de manière permanente la chronique
financière.
Depuis le fameux rapport de 2010 la chambre est intervenue le
6 juillet 2011, puis le 29 septembre 2011, puis le 24 novembre 2011, puis le 11
juin 2012, puis le 27 juillet 2012, puis le 17 août 2012, puis le 15 juillet
2013.
On s’y perd n’est-ce
pas ?
Mais le tandem
BARTOLI-PAJANACCI a réussi l’exploit de faire intervenir la chambre 7 fois
depuis 2011.
Et le préfet a, à chaque fois pris la suite et depuis deux
ans c’est lui qui établit le budget de la CCSV.
Alors je sais bien que le tandem se prétend persécuté, y
compris par le Conseil Constitutionnel…..
Moi je crois qu’il faut
arrêter les frais !!!
Ce tandem s’est révélé incapable de gérer la communauté de
communes et les populations des petites communes se retrouvent régulièrement devant
ses locaux parce qu’il y a des problèmes dont on dit qu’ils seront résolus et
qu’ils ne le sont toujours pas.
Pour vous donner un ordre d’idée des sommes gérées par cette
fameuse équipe, je vais les comparer à celle de Sartène.
Sartène c’est 4 M€ par
an.
La CCSV c’est trois budgets avec un
budget traitement des déchets de 5,8 M€ par an, un budget de l’eau de 0,7 M€
par an et un budget de l’assainissement de 4,5 M€ par an.
En tout cela fait 11 M€
par an, c’est-à-dire presque trois fois le budget de Sartène.
Et j’entends dire que la direction de la communauté de
communes devrait revenir à Olmeto, c’est-à-dire au tandem qui a conduit et qui
continue de conduire la CCSV
dans le mur.
Pour moi, c’est de
l’irresponsabilité car vous en conviendrez, on ne peut confier la gestion de 11
M€, soit presque trois fois la gestion de Sartène à ceux qui ont fait preuve,
avec une régulière constance, de leur incapacité à conduire cette collectivité.
Et il faut que vous sachiez
qu’on doit rajouter deux compétences obligatoires les prochaines années :
-l’aménagement de
l’espace communautaire en coordonnant les PLU, puisque l’action dispersée mène
à l’échec : PLU Sartène et Olmeto annulés, et que la modification de
Propriano a été annulée ;
-puis le développement
économique avec une charte commune d’aménagement rural, pour harmoniser la
création de zones d’activité commerciale, artisanale et touristique et assurer
leur gestion.
Il faudrait leur confier tout cela en plus, en
récompense d’une gestion que la chambre dit qu’elle a aboutit à de grandes
difficultés financières.
Non ! Non ! Et
trois fois Non !
Il faut redevenir la aussi
sérieux. Il faut que Sartène reprenne
les rênes de la communauté de communes. Il faut des hommes d’expérience et des
hommes compétents pour remettre les choses en ordre.
Je vais maintenant
conclure.
Vous
savez que nous sommes dans une période de crise.
L’aspect
financier n’en est que la face émergée.
La
crise a plusieurs composantes : c’est une crise financière mais aussi une
crise de pauvreté, une crise culturelle, une crise énergétique, une crise
environnementale et une crise de gouvernance.
Mais
dans le fond, je crois que ces divers aspects de la crise ne sont que la
profonde traduction d’une crise de sens
et d’une crise de conception du bien
commun.
Nous
sommes toutes et tous happés par cette crise de sens et cette crise de
conception du bien commun, sans réussir à vraiment en comprendre les raisons.
Dans
notre quotidien nous pensons que nos institutions suffisent à garantir le
développement et l’épanouissement de l’homme.
Ce
devrait être encore plus vrai dans une commune et dans une communauté de
communes.
Mais
les échanges que j’ai eus avec vous, vos réflexions et mon expérience d’élu et
de chef d’entreprise me conduisent à penser que les institutions et plus encore
les institutions municipales et intercommunales, ne jouent pleinement leur rôle
qu’à la condition que les hommes qui les portent détiennent quelque chose de
plus.
Ce
quelque chose de plus c’est le respect
de l’autre, le respect de ses concitoyens pour une équipe municipale et une
équipe intercommunale.
Bien
évidemment, avec mes amies et mes amis, nous avons bâti des lignes d’action
pour « redresser la barre ».
Mais
seuls, nous ne pouvons rien. Nous avons besoin de vous !
Depuis
des millénaires, d’autres avant nous ont bâti la commune et la microrégion.
Il
s’agit de poursuivre ce développement et de laisser à nos enfants une cité et
une microrégion où il fait bon vivre et travailler.
Aidez
moi, aidez nous à redonner du sens à Sartène et à la communauté de communes.
Engagez vous! Le futur est à bâtir
ensemble. Notre action est ouverte.
Rejoignez nous ! Je vous
attends ! Nous vous attendons !